18 mai 2008



Qu'elle impolitesse! ne pas écrire depuis tout ce temps! L'écriture n'est pas indispensable pour moi je peux survivre sans et puis je me relis et j'aime pas alors bon.

Vous avez remarqué je me suis vêtu de blanc! beaux jours oblige! Annonce de changement? je ne sais pas et puis pas sûr que je revienne avant les résultats du bac alors bon là oui techniquement du changement.

Je me demandais ce matin comment je réagirai face au résultats? négativement on sait déjà, mais positivement? De quel intensité sera ma joie? Cela ne devrait pas me laisser indifférente.

La fin de l'année approche donc la mélancolie s'installe, les questions fussent: Comment se sera l'année prochaine? Les rencontres? L'éloignement des amis? C'est vrai on a toujours ce rêve " ami pour la vie! C'est promis!" mais en pratique c'est pas pareil! On laisse passer une semaine, parce qu'on est envouté par une nouvelle vie, effet tourbillon quoi! Et puis on ose pas revenir dire "bonjour" on a laissé passer un mois maintenant et puis en réalité c'est pour demander à venir chez la personne, alors ce délaissement puis cette soudaine attention est comme qui dirait étrange, non? Une technique pour dire que je reviens pour demander des nouvelles? Qu'est ce qui vous fait croire ça, voyons?! Fin juin début juillet je ne lancerai pas de "ami pour la vie" parce que je ne veux pas porté le mauvais œil après tout on se dit ça et puis on croit que tout est aqui mais non ça se travail les relations ma p'tite dame! Vous croyez quoi que c'est comme une machine à pain, je peux laissé faire ça la nuit et pain frais le matin! Oh non! Est ce que je pleurai? Depuis quand je suis émotive! Je suis un vieux grand père qui dit jamais à ses proches qu'il les aime alors pourquoi des larmes? Ben au collèges elles étaient là les larmes! Mais bon on vieillie, on s'endurcit, je ne les promet pas, ne les prédit pas elles viendront si elles ont envie: c'est des invitées que l'on invite pas.

Je suis un vieux grand père qui dit jamais à ses proches qu'il les aiment? Oh le jamais et un peu trop! Vous savez ces grands pères qui restent assis dans leur fauteuil, à l'écart sans participer à la conversation mais qui se souviennent de toutes celles qui ce sont déroulées devant ses yeux. Vous les avez déjà entendu dire "je t'aime", non rarement c'est leur génération qui veut ça? je ne sais pas, le vécu peut-être. J'en ai connu deux comme ça et ils comptent beaucoup pour moi (ah! une marque d'affection!) ils sont là ne disent rien mais n'en pensent et ressentent pas moins. Ils peuvent être perdus sans l'être aimée qui a partagé toute leur vie, leur silence cache leur faiblesse, leur sentiments. Je dis rarement je t'aime, je sers pas mes amis dans les bras, ne leur dit pas qu'ils sont importants, leur montrent que je peux vivre sans eux près de moi, mais peut-être comme un enfant qui veut montrer à ses parents qu'il sait marcher seul et que c'est grâce à eux. Je ne leur dirai surement jamais tout ce que je ressent pour eux car ça peut-être une perte de soi, une faiblesse pour moi. C'est ainsi on est marqué par différentes formes d'expressions de l'amour et l'on en est influencé.

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