10 févr. 2008

Un si joli désordre

Le plus grand paradoxe chez moi c'est que je veux toute ma vie dire et dire des mots en les vivants alors que je suis une merdouille pour dire les choses.

Les mots me paressent faux quand ce n'est pas un écrivain qui les a aligné pour dire les choses d'une manière juste. C'est étrange mais "désolé, pardon, je t'aime..." me paressent impersonnels tellement faux, j'aime pas consoler les gens par le biais d'un ordinateur, ou même en étant en face de la personne. Si je dis ces mots je trouve ça ridicule. Dans ce cas je préfère me taire et faire comprendre à la personne en face ce que je ressens, si je le dis je m'enméle les pieds et je tombe.
il faudrait que j'apprennes des répliques toutes faites et qui ont du sens pour moi pour éviter de me noyer dans le réconfort, les escuses et de me rendre compte 2 mois plus tard que tel ou tel phrases auraient été mieux.

Lisez mon vissage, ne m'écoutez pas.

Sinon ce weekend rime avec JOIE qui vient de je ne sais où, elle a ouverte la porte de ma chambre et elle l'a envahie. J'ai des envies de tourner en rond très vite, de danser sur mon lit, de sauter partout dans ma chambre (peut pas planché pas solide).



Il faut que j'arrête!! une robe, une jupe, un gilet en même pas 3 jours! Ok les prix sont plus que attractif mais bon je déborde de robes mais quand je veux mettre un pantalon, mes pulls et autres t-shirts sont absents donc, plus de robes, il me faut des petits hauts lègers, rigolos, un peu longs, blancs, ou toutes autres couleurs.



10 minutes, c'est le temps que j'ai mit (en plus de me laver) pour me préparer pour aller faire une petite course au inter d'en face de ma petite ville. C'est inquiètent...
Les gens me regardaient justement dans cet inter. Pourquoi? c'était pas marqué sur ma tête que je me suis préparée exprès pour aller à inter, alors pourquoi? il y a quelque chose qui change, ou bien que mon porté de boite de champignons était réussi!



Ce billet est un petit brouillon, non? mais bon je déborde, je suis fouillie de bonheur et je ris de ce petit désordre qui me remet en ordre.

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