3 nov. 2007

une nuit électro et rien d'autre.



Tout commence pour moi quand on a aperçu Pedro sortir de l'Olympic. Grand silence , on regarde le monsieur en haut des marches qui remet sa mèche. Xavier suit dans une doudoune ignoble du style de celle que j'avais à 10 ans: rouge bien moulante, pub michelin. Le charmant Gaspard sort: on peut remarquer qu'il soutient son copain tortue ninja (alias Xavier) dans la déchéance vestimentaire il portait une écharppe de foot non identifiable qui jurer avec son cuir.
Ils traversent la rue, les mâles en rutes dans leurs slims trop serrés (ils se sentent moins hommes comme ça) courent après eux et Gaspard attend dehors lâché par ses copains car il a pas fini sa clope. Alors il se fait mitraillé, il pose à coté de filles qui connaissent même pas son prénom "je me suis prise en photo avec le barbu": "GASPARD!!!" je hurlais dans ma tête tout comme Marion et Camille. Puis les portes se sont ouvertes. On est rentré dans le calme, je suis descendu au vestiaire, Gaspard est passé juste derrière moi quand je faisais la queue.
On est remonté à la salle, une dj mixait je me suis mit en jambes pour la soirée. Pedro est arrivé il a mixé, on a dansé sur du dj medhi, sebastian, uffie... On pouvait grâce à lui entendre ed banger's family.
On descend se reposé, et puis on remonte se disant que Justice devrait bientôt être à nous. On monte et on entend le début de genesis! On se précipite dans la salle on se faufile pour avoir une meilleur place et puis on se laisse porter. Tout mon corps vibre sous la musique, sous leurs doigts. Le son vient de partout le sol en est gorgé tout comme l'air. On explose dans des hurlements de vie. On ne contrôle plus son corps on est qu'un pantin et nos marionnettistes nous désarticule . Nous sommes qu'un grand est immense pantin, et ils aiment nous contrôlé du bout des doigts.
Tout meurt pour revivre de plus belle devant des gosses de quinze ans: Xavier, Jackson et Pedro, jouant avec une couronne, mangeant des haribos et demandant du feu toute les trente secondes.
Il nous reprennent du bout des doigts on ne sent plus le mal qu'ils nous font sans le vouloir, on connait nos marionnettistes mais ils sousestiment leurs marionnettes. Ils ne peuvent plus nous arrêter, on a prit le contrôle, ils obéissent à nos demandes . Ils nous tiennent têtes et nous laisse seules abandonné.
Nos yeux brillent, nous revenons à nous. On nous met dehors. Tout parait étrange après cela, irréel.